Books and Happiness

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Et puis, Paulette - Barbara Constantine.

Et puis, Paulette... - Barbara Constantine.

Sortie en 2012.

 

Note : 7,5/10

Résumé : Ferdinand vit seul dans sa ferme. Et ça ne le rend pas franchement joyeux. Un jour, il passe chez Marceline, sa voisine, et découvre que son toit est sur le point de s’effondrer. Très naturellement, ses petits-fils, les lulus, lui suggèrent de l’inviter à la ferme. L’idée le fait sourire. Mais ce n’est pas si simple, certaines choses se font, d’autres pas… Il finit tout de même par aller la chercher. De fil en aiguille, la ferme va se remplir, s’agiter, recommencer à fonctionner. Un ami d’enfance devenu veuf, deux très vieilles dames affolées, des étudiants un peu paumés, un amour naissant, des animaux. Et puis, Paulette…

 

Mon avis : 

Hello mes lecteurs, aujourd’hui, je vous fais la chronique de « Et puis, Paulette » écrit par Barbara Constantine.

 

Barbara Constantine est une écrivaine française. Elle a notamment écrit : « Allumer le chat », « A méli, sans mélo », « Tom, petit Tom, Tout petit homme, Tom » et « Voisins, voisines et Jules le chat ».

 

J’ai appréciée « Et puis, Paulette », pour diverses raisons.

 

L’histoire. L’histoire est sympathique. Le fait que ce soit une vieille personnes qui finit par en héberger plusieurs autres, qu’elles soient vieilles ou jeunes, c’est assez comique pour le coup. Et cela, juste en échanges de services, je trouve vraiment cela plaisant. Donc, je trouve que l’histoire est vraiment très belle. Très intéressant et surtout par très vue de nos jours. C’est vraiment plaisant de lire cela.

 

Les personnages, sont attachants, tous à leur manières. Certaines ont plus de mal que d’autres, mais c’est aussi normal. Ce sont principalement des vieilles personnes adorables, qui ne cherchent que le bonheur des autres.

Ferdinand est quelqu’un qui est au premier abord est un peu ronchon. Oui, facilement même. Mais, on se rend compte très vite, qu’au-delà, de son air ronchon, c’est un homme bon et vraiment très sympathique.

Marceline est une vieille dame assez secrète. On apprend plus sur elle, au fur et à mesure de la lecture et on se rend alors compte qu’elle est très forte. La vie n’a pas été tendre avec elle.

Guy, lui aussi la vie à finie par ne plus être tendre, et malgré son découragement, il a su remonter la pente aidé par ses amis. Un homme formidable, qui aime faire plaisir aux autres.

Hortense et Simone, sont deux inséparables auxquels on s’accroche facilement, surtout du fait de leur histoire commune.

Muriel, est quelqu’un qui au début me rebuter un peu, mais que j’ai finis par apprécier.

Kim, on ne le voit pas longtemps, mais il a l’air adorable et très à cheval sur l’environnement.

Les petits Lulus, sont drôles, adorables. On s’attache facilement à ses deux enfants.

Roland, est quelqu’un qu’on a du mal à apprécier car on ne sait pas ce qu’il peut ressentir. On le découvre vraiment à la fin du livre.

Mireille, sous ses airs dur et sévère, reste une jeune femme sensible.

Et puis, Paulette… Grande surprise !

 

Le style d’écriture est varié. Le langage est un langage courant, vraiment. Aucune difficulté à lire ce livre. Rapide et facile à lire. Il y a assez de descriptions que ce soit sur l’environnement ou les personnages. C’est un style un peu comique, car oui, on sourit beaucoup et l’on rit aussi. Il y a quelques émotions qui s’insinuent à nous.

 

En conclusion, c’est un livre sympathique à lire. Facile et rapide avec ses quelques 270 pages. On s’attache facilement aux personnages. C’est une très belle histoire de plus. Après, le style d’écriture est assez particulier, du fait que les chapitres sont assez courts et sous une narration que je ne connais pas énormément. 

 

Les + 
  • Lecture facile et rapide.
  • Personnages attachants.
  • Belle histoire.
Les -
  • Narration assez particulière.
Quelques phrases du livre : 
Les chats, s'est simple, il ne les aimait pas. Fourbes, sournois, voleurs et compagnie. A peine bons à chasser les souris et les rats. Et encore, si on tombait sur un bon. Question obéissance, on savait d'avance que c'était zéro. Et pour l'affection, c'était quand ils voulaient. Possible aussi que ce soit jamais!
Résultat : le soir même du déménagement, la boule de poils s'est installée sur son lit, sans qu'il ose le chasser, il était si petit..., le deuxième, sous l'édredon, collé tout contre lui, le museau dans le creux de l'oreille, carrément trognon, le quatrième, il faisait ses griffes sur les pieds du fauteuil, sans que cela n'éveille en lui le moindre pincement, la moindre émotion, et arrivé à la fin de la semaine, il mangeait sur la table dans un bol marqué à son nom. Manquait plus que le rond de serviette pour que ce soit complet!

 

 

Une couille dans le potage c'est une erreur. Deux , c'est une recette.

 

Peut-être qu’à force de ne plus se voir, on finit par s’oublier. 


01/07/2015
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